fr / en

  • Calendrier
  • En cours
  • À venir
  • Publics
  • À propos
  • Publications
  • Informations pratiques
  • Archives Bétonsalon
  • Villa Vassilieff
  • Newsletter
  • Rechercher
  • Colophon
  • Facebook
  • Twitter
  • Instagram
  • Bétonsalon - centre d'art et de recherche

    9 esplanade Pierre Vidal-Naquet

    75013 Paris
    +33.(0)1.45.84.17.56
    Adresse postale
    Bétonsalon - centre d'art et de recherche
    Université de Paris
    5 rue Thomas Mann
    Campus des Grands Moulins
    75205 Paris Cédex 13
  • Anne Le Troter, Les volontaires, pigments-médicaments
  • Événements
  • Images
  • Ateliers
  • BS n°31 - Journal d’exposition
  • Communiqué de presse
  • Bourse ADAGP & Bétonsalon 2021
  • Événements

    Toute per­­sonne ayant besoin d’une tra­­duc­­tion des événements dans une langue étrangère ou en langue des signes peut nous le faire savoir 4 jours avant et nous pro­­po­­se­­rons une tra­­duc­­tion simul­­ta­­née :
    publics@­­be­ton­sa­lon.net


    Samedi 23 avril, de 17h à 18h
    Discussion entre Anne Le Troter, Émilie Renard et Mathilde Belouali-Dejean

    « Tous les soirs un groupe de vieux vident des canet­tes devant Bétonsalon. Il y a une femme blonde et pleins de chiens appo­sant leur truf­fes humi­des et tièdes contre les fenê­tres bi-goût de l’ins­ti­tu­tion qu’ils lèchent et déco­rent toute l’année. Ayant pour l’expo­si­tion massé le sol, caressé le béton à la recher­che des trous, failles et fis­su­res de la sur­face avant de m’y ins­tal­ler, je les com­prends. Bétonsalon est érotique » - Anne Le Troter, mars 2022.

    À l’occa­sion du der­nier jour de l’expo­si­tion Les volon­tai­res, pig­ments-médi­ca­ments, en conver­sa­tion avec Émilie Renard et Mathilde Belouali-Dejean, Anne Le Troter revien­dra sur la créa­tion de ses ins­tal­la­tions sono­res, à tra­vers son pro­ces­sus d’écriture poé­ti­que, son rap­port au lieu et à la spa­tia­li­sa­tion de l’écoute, ainsi que la place qu’elle accorde au corps, social et sen­suel.


    Événements passés


    Jeudi 17 mars de 18h à 20h
    [Re]pro­duc­tion, penser la mater­ni­té́ dans l’art contem­po­rain
    Discussions, lec­tu­res, per­for­man­ces avec Nour Awada, Emilie McDermott et Anne Le Troter

    En écho à l’expo­si­tion Les volon­tai­res, pig­ments médi­ca­ments d’Anne Le Troter autour du carnet de santé, l’artiste invite Émilie McDermott et Nour Awada pour une dis­cus­sion, des lec­tu­res et per­for­man­ces tra­ver­sant la genèse et les enjeux du projet [Re]pro­duc­tion, penser la mater­nité dans l’art contem­po­rain.


    Anne Le Troter, Les volon­­tai­­res, pig­­ments médi­­ca­­ments, dessin, 2021-22, pastel gras sur papier, Courtesy gale­­rie frank elbaz, Paris.
    Vue de l’expo­si­tion d’Anne Le Troter, Les volon­tai­res, piments-médi­ca­ments, 2022, Bétonsalon - centre d’art et de recher­che, Paris © Antonin Horquin.

    [Re]pro­duc­tion, penser la mater­nité dans l’art contem­po­rain est un projet de recher­che mené par Émilie McDermott et Nour Awada depuis 2020. À tra­vers cette étude sur l’impact de la mater­nité sur la car­rière pro­fes­sion­nelle des femmes artis­tes en France, les deux artis­tes mènent une réflexion poli­ti­que et col­lec­tive sur la mater­nité dans l’art contem­po­rain. De quelle manière les artis­tes femmes intè­grent-elles la mater­nité à leur car­rière artis­ti­que ? Quelle place le monde de l’art, en tant que sys­tème social et économique, donne-t-il à la mater­nité ? Toutes deux artis­tes et mères, elles ont d’abord inter­rogé ensem­ble le trian­gle mater­nité/créa­tion/car­rière, avant d’ouvrir la recher­che à de nou­veaux témoi­gna­ges.

    Le projet [Re]pro­duc­tion est sou­tenu par L’ahah et la mis­sion Égalité et Diversité du Ministère de la Culture.

    Nour Awada
    Née en 1985 à Beyrouth, Nour Awada vit et tra­vaille entre Rome (IT) et Paris (FR) . Diplômée de l’École Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Paris en 2012, elle fonde le LAP en 2018 - Laboratoire des Arts de la Performance. Ses œuvres ont été pré­sen­tées, entre autres, à la Fondation François Schneider, la Fondation Francès, Mains d’Œuvres, le Palais de Tokyo, la Fondation Lafayette Anticipations, l’Institut Français de Milan et La Triennale Internationale d’Istanbul.

    Émilie McDermott
    Émilie McDermott est une artiste franco-amé­ri­caine et tra­vaille entre Besançon et Paris. Diplômée de l’École Nationale Supérieure d’Arts de Paris Cergy en 2013, ses oeu­vres ont été pré­sen­tées, entre autres, au Palais de Tokyo, au fes­ti­val Traverse Vidéo de Toulouse, au fes­ti­val l’Oeil d’Oodaaq à Rennes, au FRAC Franche Comté ou encore au fes­ti­val UrbanApa à Helsinki, où elle a tra­vaillé de 2013 à 2015. Elle est récem­ment lau­réate de la bourse de créa­tion de la DRAC Bourgogne Franche-Comté pour Homing, un projet d’ins­tal­la­tion olfac­tive en cours.


    Samedi 26 mars de 17h à 18h
    De la ThéraPoésie
    Une per­for­mance de Martin Bakero

    Martin Bakero pro­pose une per­for­mance à partir d’un enre­gis­tre­ment réa­lisé avec Anne Le Troter avec le col­lec­tif de la Radio Metanoia de l’hôpi­tal de Ville-Evrard à Bondy.

    Poète, com­­po­­si­­teur et psy­­cho­­té­­ra­­peute (ThéraPoète), Martin Bakero a investi les fron­­tiè­­res de ce qu’il a nommé « poésie acous(e)man­ti­que ». Après des études à l’école de musi­que de l’Université du Chili, il pour­suit sa for­ma­tion musi­cale de com­po­si­tion éléctro-acous­ti­que au Conservatoire de Paris. Il est aujourd’hui cher­cheur à l’Université de Paris.
    Travaillant sur des sup­ports maté­riels et imma­té­riels, il mène avec des amis artis­tes, mys­ti­ques et scien­ti­fi­ques des asso­cia­tions libres et explore la réson­nance, la phy­si­que des cordes et les super-asy­mé­tries. Grâce à la mise en place de dis­po­si­tifs radio, d’anten­nes, de cap­teurs et la décou­verte de nou­vel­les tech­ni­ques de lecto-écriture, il explore les fron­tiè­res entre le son, le sens, l’odorat, la vision, l’action, l’hal­lu­ci­na­tion et le geste en poésie.
    Bakero a entamé plu­sieurs révo­lu­tions en créant notam­ment le Cabaret Pneumatique, le fes­ti­val FESTINA LENTE (labo­ra­toire d’électropoésie acou­sé­man­ti­que), et en fon­dant des mou­ve­ments poé­ti­ques tels que « Révolution poé­ti­que », Casagrande et « Foro de Escritores ». Ses explo­ra­tions ont ainsi donné nais­sance aux poé­sies « éléctropneumatique » et « acous­man­ti­que ».

    Martin Bakero tente de pro­po­ser un nou­veau rap­port entre la réa­lité et la poésie. Élaborant le concept de thé­ra­pie comme un art, il dirige des cures et conduit des grou­pes de lec­tu­res et des sémi­nai­res autour de la folie, la poésie et les poé­ti­ques de l’incons­cient.
    Ses tra­vaux pren­nent la forme de spec­ta­cles, de confé­ren­ces, de films, d’expo­si­tions ou encore pro­gram­mes radio, et ont été pré­sen­tés à tra­vers l’Europe et le contient amé­ri­cain. Il a notam­ment fait des rési­den­ces de créa­tion sono­res et per­for­mance à Avatar (Québec), au Centre National des Arts (Mexique), et au Centre de la Culture Contemporaine de Barcelone. Il a également par­ti­cipé à des ate­liers avec des artis­tes tels que Meredith Monk, Joan La Barbara et Alejandro Jodorowsky.

    THERAPOETICS


    Samedi 9 avril de 17h à 18h
    « Un énoncé sur­pris par hasard »
    Éditions Même pas l’hiver
    Conférence de Lytle Shaw

    Lorsqu’Allen Ginsberg s’enre­gis­tre sur un magné­to­phone et capte for­tui­te­ment des émissions de radio, le souf­fle du vent et des conver­sa­tions, des agents du FBI et de la CIA l’écoutent, à la recher­che d’aveux invo­lon­tai­res. En consi­dé­rant ces agents comme de sérieux théo­ri­ciens de la poésie,Lytle Shaw montre qu’ils s’ins­pi­rent des expé­ri­men­ta­tions d’avant-garde et trans­for­ment une tech­ni­que libé­ra­trice en un outil répres­sif.

    Lytle Shaw ensei­gne la lit­té­ra­ture à l’Université de New York. Il a publié Frank O’Hara : The Poetics of Coterie en 2006 (University of Iowa Press) et Fieldworks : From Place to Site in Postwar Poetics en 2013 (University of Alabama). En 2021, est paru New Grounds for Dutch Landscape (OEI).

    Même pas l’hiver
    Même pas l’hiver est une maison d’édition fondée par François Aubart et Camille Pageard. Elle publie des livres sur l’art et la poésie, pré­sen­tant des voix enga­gées et inven­ti­ves qui mêlent prises de posi­tions sin­gu­liè­res et renou­vel­le­ment des formes d’écritures.


    Vendredi 15 avril de 19h à 21h
    Garantir un droit à la conti­nuité du revenu aux tra­vailleur·­ses de l’art

    En raison du nombre limité de places, la réser­va­tion est sou­hai­tée auprès de : info@­be­ton­sa­lon.net

    Aux côtés du Syndicat des tra­vailleur·eu­ses Artistes-Auteur·ices (STAA), du Syndicat National des Artistes Plasticien·nes (SNAPcgt) et avec le sou­tien du Syndicat National des Écoles d’Art (Snéad-CGT) et de SUD Culture Solidaires, La Buse a co-rédigé une tri­bune visant à garan­tir un droit à la conti­nuité du revenu pour les tra­vailleur·eu­ses de l’art.

    Cette pro­po­si­tion a trouvé un écho auprès de for­ma­tions poli­ti­ques telles que la France Insoumise et le Parti Communiste Français – ce der­nier tra­vaillant actuel­le­ment à une pro­po­si­tion de projet de loi qui sera pré­sen­tée devant l’Assemblée Nationale en fin d’année. Nous sou­hai­tons désor­mais la média­ti­ser en orga­ni­sant une tour­née de pré­sen­ta­tion de la tri­bune dans plu­sieurs lieux cultu­rels en France.

    Outre une pré­sen­ta­tion de nos pro­po­si­tions, il s’agit d’orga­ni­ser des dis­cus­sions avec les prin­ci­paux·a­les inté­res­sé·es, que ce soit les tra­vailleur·eu­ses de l’art mais aussi les struc­tu­res, pour envi­sa­ger la mise en pra­ti­que des­di­tes pro­po­si­tions.

    Ainsi, plu­sieurs mem­bres de La Buse repla­ce­ront la tri­bune dans son contexte d’écriture puis revien­dront en détail sur ce projet d’amé­lio­ra­tion du régime des artis­tes-auteur·i­ces dans lequel nous prô­nons un accès faci­lité aux droits sociaux accom­pa­gné d’un assu­rance chô­mage acces­si­ble à un seuil bas, ainsi qu’une reconnais­sance des acci­dents du tra­vail et des mala­dies pro­fes­sion­nel­les pour tous·­tes les tra­vailleur·eu­ses de l’art non sala­rié·es.

    Partager

    Archives Bétonsalon